Le médecin bienveillant

Chapitre 1 : La visite chez le médecin

Maxime était un petit garçon de 10 ans qui avait toujours peur des visites chez le médecin. Il était convaincu que les médecins piquaient toujours avec leurs aiguilles. Mais cela n'avait pas l'air de déranger son père, le Docteur Dupont, qui était un médecin renommé dans leur petite ville.

Un jour, Maxime se réveilla avec une forte fièvre. Son père, qui avait l'habitude de s'occuper des enfants malades, décida de l'examiner dans son cabinet médical.

Maxime se mit à paniquer dès qu'il entra dans le cabinet. Il jeta un coup d'œil aux étagères qui étaient remplies de médicaments. Il vit une grande aiguille sur la table d'examen. Il se demanda s'il allait devoir subir une piqûre.

Son père le rassura : « Ne t'inquiète pas mon fils, je ne vais pas te piquer. Je vais vérifier ta température et ton pouls. »

Maxime se détendit et son père fit les examens nécessaires. Il donna ensuite à son fils un sirop pour sa fièvre et lui demanda de se reposer.

Maxime était soulagé. Il était heureux que son père ne lui ait pas fait de piqûre. Il était aussi impressionné par la façon dont son père avait su prendre soin de lui.

Chapitre 2 : Une journée dans la vie d'un médecin

Le lendemain, Maxime décida de suivre son père pour voir ce qu'il faisait exactement toute la journée.

Son père l'emmena d'abord à l'hôpital où il travaillait en tant que médecin urgentiste. Ils arrivèrent à l'hôpital et Maxime fut frappé par la taille du bâtiment. Il y avait des ambulances en train de décharger des patients et des infirmières courant dans tous les sens.

Son père lui montra la salle d'urgences où il travaillait. Il y avait des lits alignés les uns à côté des autres avec des patients qui étaient malades ou blessés. Son père lui montra comment il prenait soin des patients et comment il diagnostiquait leurs maladies.

Maxime était impressionné par la façon dont son père traitait les patients avec gentillesse et empathie. Il avait toujours pensé que les médecins étaient durs et froids, mais il avait tort.

Après l'hôpital, son père l'emmena dans son cabinet médical où il avait des rendez-vous avec plusieurs patients. Maxime était surpris de voir que son père connaissait le nom de chaque patient et qu'il se souvenait parfaitement de leurs antécédents médicaux. Il apprit que son père avait une mémoire incroyable et qu'il était capable de se souvenir des moindres détails concernant ses patients.

Chapitre 3 : Une journée de travail difficile

Un jour, le père de Maxime avait une journée de travail difficile. Il avait travaillé toute la nuit aux urgences et avait plusieurs rendez-vous avec des patients dans la journée.

Maxime était inquiet pour son père. Il savait que c'était dur d'être médecin et que son père travaillait dur pour aider les gens. Il décida de préparer une petite surprise pour son père pour lui remonter le moral.

Il courut à la boulangerie et acheta une boîte de biscuits. Il les apporta ensuite dans le cabinet médical de son père et les déposa sur son bureau avec un petit mot qui disait « Merci pour tout ce que tu fais, papa ».

Son père fut touché par ce geste. Il souleva Maxime dans ses bras et le remercia pour son soutien.

Le reste de la journée se passa bien et les patients furent contents de voir leur médecin de bonne humeur malgré sa journée difficile.

Chapitre 4 : La guérison de Maxime

Après quelques jours de repos et en suivant les conseils de son père, Maxime guérit complètement de sa fièvre.

Il remercia son père pour l'avoir aidé à guérir et pour lui avoir montré le métier de médecin. Il comprit que les médecins étaient des personnes formidables qui se souciaient vraiment de leurs patients.

Il décida qu'il voulait devenir médecin quand il serait grand pour aider les gens comme son père avait toujours fait.

La fin de l'histoire était heureuse. Maxime avait vaincu sa peur de voir un médecin et avait appris à respecter et à admirer le métier de son père. Il avait également appris que les médecins étaient des personnes formidables qui aidaient les autres avec empathie et compassion.